Motor Racing – Formula One World Championship – Bahrain Grand Prix – Qualifying Day – Sakhir, Bahrain

Révélation du récent Grand Prix d’Azerbaïdjan où il a décroché une splendide sixième place au volant de la modeste Sauber, Charles Leclerc a révélé avoir souffert en début de saison.

Le rookie monégasque avait même été souvent dominé par son expérimenté équipier Marcus Ericsson en ne parvenant pas à tirer la quintessence de la C37 et tout en commettant quelques erreurs de jeunesse dans son approche des week-ends de Grand Prix.

Mais le métier rentre vite et Leclerc a réalisé un authentique exploit dans les rues de Bakou où sa sixième place finale a couronné une prestation emprunte d’une grande maturité.

« J’ai vécu un apprentissage difficile pour mes premières courses en F1 car je ne parvenais pas à régler la voiture efficacement, explique-t-il à Autosport. En GP3 et en F2, on a tendance à piloter des voitures survireuses car c’est de cette manière qu’elles sont les plus rapides. En F1, au contraire, c’est en les rendant sous-vireuses que les monoplaces sont plus performantes. »

« Il a fallu que je m’y habitue, poursuit Charles. Après avoir fait pas mal de fautes de pilotage dans les trois premières courses, je me suis davantage inspiré des réglages adoptés par Marcus. Ce fut le jour et la nuit, avec une voiture beaucoup plus confortable ce qui a considérablement augmenté ma confiance, avec le résultat que l’on sait. »

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