Arrive alors l’ultime round à Watkins Glen où Giacomelli arrache la pole position ! Coup de bluff ? Non puisque l’Italien s’envole dès le départ et creuse l’écart au fil des tours. Ça y est, c’est sûr, Alfa Romeo va gagner, la course de ‘’Jack O’Melley’’ est parfaite mais le rêve s’évanouit au 32ème des 59 tours quand le champion F2 1978 doit se ranger dans l’herbe, trahi par des soucis électriques. Grosse désillusion pour la bande d’Autodelta qui y a cru jusqu’au bout.

L’année suivante, Alfa parviendra à enrôler Mario Andretti mais l’Américain ne sera pas le messie attendu avec seulement trois points inscrits à Long Beach en début de saison et puis, plus rien. Ce sera de nouveau ce bon vieux Bruno qui sauvera les meubles grâce à un très beau podium acquis à Las Vegas au terme d’une course harassante. Ainsi, l’équipe se glisse pour la première fois dans le Top 10 au classement des constructeurs.

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