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Après un succès inattendu mais pas volé dans le Grand Prix de Chine, bien aidé par la voiture de sécurité tout de même, Daniel Ricciardo arrive à Bakou avec un moral d’acier.

Le pilote australien s’était imposé l’an passé dans les rues de la capitale d’Azerbaïdjan au terme d’une course échevelée comme seuls les circuits en ville peuvent en fournir.

Avec ses qualités, Ricciardo est bien décidé à continuer sur sa lancée en réalisant encore des dépassements dont il a le secret dans les nombreuses zones de freinage des 6 km du tracé.

« La chose la plus délicate à Bakou est précisément le freinage, explique Daniel. Les opportunités ne manquant pas, il faut freiner très tard et il n’y a aucune marge d’erreur. Si on bloque une roue, cela se termine dans le mur. Il s’agit donc de déterminer le point de repère et de faire preuve de confiance. »

« Les lignes droites sont très longues et, avec le DRS, on arrive très vite et l’instinct vous commande de freiner, il faut donc être très confiant pour retarder son freinage, analyse-t-il. C’est un circuit en ville, mais avec de hautes vitesses, différent de Monaco et plus exigeant du coup : piloter à la limite y requiert une concentration de tous les instants. »

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