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 Le championnat de Formula E reprend ce week-end à Santiago du Chili et le tenant du titre Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) subira une pénalité d’un recul de 10 places sur la grille de départ après un changement de convertisseur sur une de ses monoplaces.

Le Brésilien a vécu un début de saison difficile lors des deux premiers meetings, à Hong Kong puis à Marrakech, et la défense de sa couronne semble mal entamée même si la campagne est encore longue et que di Grassi est spécialiste des remontées depuis le fond de grille.

L’ancien pilote Virgin Racing en F1 est aussi depuis l’année passée le CEO de Roborace, l’entreprise qui développe une voiture de course autonome, et s’implique de plus en plus dans la politique de son sport au point que certains observateurs le citent parmi les possibles candidats à la présidence de la FIA après le troisième et dernier mandat de Jean Todt, à l’horizon 2022.

« La dimension politique du sport m’intéresse et ce n’est pas pour rien que je me suis investi en Formula E avant même le lancement de cette compétition, confie Lucas. Quand j’ai couru pour Audi en WEC, j’ai également vite réalisé que la situation de la catégorie LMP1 n’était pas vivable à long terme. »

« J’aime exprimer des opinions bien tranchées et aussi prendre du recul pour considérer une situation dans sa globalité, ajoute-t-il. Anticiper les technologies du futur, à l’instar de Roborace, nourrit ma curiosité naturelle. Dès lors, jouer un rôle de dirigeant dans mon sport pourrait me convenir, mais chaque chose en son temps : j’ai encore de belles années devant moi en tant que pilote. »

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