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L’écurie Force India devrait être l’une des dernières à présenter sa nouvelle voiture, en principe à la veille des premiers essais hivernaux dans le paddock de Barcelone dimanche prochain.

Et pour cause : des négociations sont toujours en cours quant à un changement de nom de la formation indienne, précisément en renonçant à la référence au pays d’origine de son fondateur Vijay Mallya, toujours en délicatesse avec la justice anglaise qui menace de l’extrader.

Le team de Silverstone pourrait au passage changer de propriétaire, le sulfureux homme d’affaires indien étant empêtré dans un scandale interminable faisant suite à la faillite de sa compagnie aérienne Kingfisher Airlines en Inde en 2013.

Différentes sources en Grande-Bretagne font état d’une offre de rachat à hauteur de 200 millions de livres sterling par un consortium mené par William Storey, le CEO de Rich Energy (une boisson énergisante), et l’ancien footballeur Rob Lee (photo ci-dessus). Une rumeur qui tient plutôt de la « fake news » si l’on considère que Rich Energy est un produit confidentiel et que la société qui le produit n’a que 2 millions de livres de capital…

Selon le Daily Mail, Rich Energy a déjà des connections avec la F1, notamment en tant que fournisseur du Grand Prix de Monaco et des partenariats avec le club de foot de West Ham (Ladies) ou les hôtels Hilton. Distribué uniquement au Royaume Uni et aux USA, Rich Energy ne pèse vraiment pas lourd sur le marché des boissons énergisantes.

Parmi les candidats plus sérieux à la reprise de Force India citons BWT, la société autrichienne principal sponsor de l’écurie, Dimitri Mazepin, l’oligarque russe père du pilote de développement Nikita Mazepin (qui vient d’investir dans ART Grand Prix en reprenant les parts de Nicolas Todt) ou encore Bertrand Gachot, l’ancien pilote de F1 à la tête de Hype, la boisson énergisante partenaire de Force India depuis trois ans.

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