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En se classant deuxième derrière le vainqueur Scott Dixon (Ganassi) hier soir sur le Texas Motor Speedway, Simon Pagenaud (Team Penske) revient de loin et nous raconte cette épreuve de rentrée en IndyCar.

Le championnat américain le plus relevé en monoplace a repris son cours la nuit dernière, un mois avant le lancement de la saison de Formule 1 en Europe.

Le « Genesis 300 » se déroulait naturellement à huis clos en respectant strictement les règles de distanciation sociale, pilotes et mécaniciens déambulant masqués dans le paddock.

La course a été dominée par Dixon, victorieux pour la quatrième fois sur l’ovale du Texas, qui a mené 147 tours sur 200 en reprenant les devants à chaque relance avec une belle aisance.

Troisième sur la grille de départ et finalement deuxième sous le drapeau à damier, Pagenaud pouvait se montrer satisfait car la progression des voitures du Team Penske a été laborieuse tout au long de la soirée.

« Heureusement, nous avons maximisé nos opportunités, se félicite le pilote français. Les réglages de l’an passé n’étaient pas adaptés aux nouvelles contraintes posées par l’Aeroscreen dont c’était le baptême du feu, avec un comportement très différent. »

« Du coup, les pneus se dégradaient plus vite et nous avons été victimes de grosses vibrations, surtout à l’arrière droit, regrette-t-il. Depuis l’intérieur du cockpit, il n’y avait pas grand chose à faire. Cela s’est bien terminé car nous avons été un peu chanceux dans les derniers tours pour récupérer les places perdues plus tôt dans la course. »

Dans la première hiérarchie de ce championnat 2020, Dixon mène évidemment avec 53 points pour 40 à Pagenaud et 37 à Josef Newgarden, le tenant du titre.

Cette manche d’ouverture est à revivre ce mercredi à 20h30 sur VOO Sport en Belgique, la suivante étant programmée le 4 juillet prochain lors de l’Indy GP disputé sur le circuit routier au centre du speedway.

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