Avant que la FIA ne se penche sur son cas la semaine prochaine (et le renvoie éventuellement vers le tribunal sportif) après le coup bas de Bakou, Sebastian Vettel serait peut-être bien inspiré d’écrire une lettre au président Jean Todt, comme il l’avait fait après le Grand Prix du Mexique l’an passé pour s’excuser des insultes proférées à la radio à l’encontre du directeur de course Charlie Whiting.

Réagir à cet article