Certains circuits sont plus exigeants que d’autres en consommation, comme ceux de Montréal et de Bakou, ce qui oblige certains concurrents à rouler « à l’économie » pour couvrir la distance du Grand Prix. Dans les années 50, la quantité de carburant n’était pas limitée et les monoplaces étaient affublées de réservoirs supplémentaires, comme ici les Alfa Romeo à Monza en 1950. Ce sera le cas également des Lancia D50 un peu plus tard.

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