La F1 était sur les charbons ardents en cet été 1970 quand Jochen Rindt enfilait les victoires comme des perles au volant de la spectaculaire nouvelle Lotus 72, comme ici sur les pentes du Puy de Dôme à Clermont-Ferrand : le pilote autrichien allait se forger une avance suffisante au classement général pour – hélas – être sacré Champion du monde à titre posthume cette année-là, un fait unique dans les annales, après un accident fatal lors des essais du Grand Prix d’Italie à Monza.