Conscient que la Ferrari n’est pas la meilleure voiture du plateau, Fernando Alonso n’en est pas moins ambitieux pour les deux derniers Grands Prix.
« Nous savons que la voiture se qualifie généralement sixième ou septième, remarque l’Espagnol, mais cela ne nous a pas empêchés de marquer souvent davantage de points que nos concurrents le dimanche. C’est ce que nous allons essayer de faire ce week-end en espérant repousser l’issue du championnat au Brésil. »
Ferrari a amené de nouvelles pièces à tester vendredi, après les avoir évaluées lors d’un essai en ligne droite la semaine dernière, et l’inconnue est totale quand au niveau de compétitivité de la F2012. Alonso possède l’expérience des fins de saisons serrées et il estime que cela pourrait jouer en sa faveur.
« En 2005 et 2006, j’étais assez stressé en abordant les dernières courses, se souvient-il, alors que je suis désormais plus serein, sans doute plus mûr, avec une approche professionnelle visant une concentration maximale. Je sais ce que j’ai à faire et je ne vais rien lâcher… »
Pierre Van Vliet, depuis Austin.
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