Motor Racing – Formula One World Championship – British Grand Prix – Race Day – Silverstone, England

Depuis l’annonce de son retour en F1 en tant que sponsor-titre de Red Bull, le nom d’Aston Martin suscite l’intérêt de la part de plusieurs autres écuries.

Le constructeur britannique apparaîtra cette saison sur les flancs des futurs RB14 à moteur Renault (re-badgé TAG) et compte bien augmenter ses investissements dans le sport à moyen terme.

C’est d’ailleurs là l’une des raisons derrière ce regain d’attention, à savoir l’éventualité qu’Aston développe son propre groupe-propulseur à l’horizon 2021, année de transition technologique.

Andy Palmer, CEO de la marque (à gauche sur la photo ci-dessus), s’est récemment déclaré en faveur de la direction prise par les instances du sport vers un moteur globalement moins compliqué et coûteux à concevoir, une porte ouverte selon lui à de nouveaux acteurs du monde de l’automobile.

Si, à l’heure actuelle, Red Bull et à fortiori Toro Rosso sont en première ligne pour bénéficier de l’expertise de ce nouveau partenaire, en attendant de juger les performances du bloc Honda, d’autres teams se sont montrés intéressés.

Toutefois, pour pouvoir entamer un chantier d’une telle ampleur, Palmer mise également sur les retombées commerciales du projet. En tant qu’acteur majeur dans l’industrie de l’automobile haut de gamme, Aston Martin pourrait bénéficier d’une visibilité accrue de ses produits.

Le CEO ne cache d’ailleurs pas son ambition de pouvoir se mesurer dans les années qui viennent à la concurrence formée par Ferrari, Lamborghini ou McLaren en matière de supercar. Et, à ce titre, l’introduction d’un moteur à la fois innovant et performant en F1 pourrait s’avérer être un boost idéal en matière de crédibilité.

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