À Monza, on freine seulement six fois par tour, alors qu’on le fait à douze reprises à Budapest et onze à Bakou. La décélération moyenne par tour est de 5,5 g, avec trois freinages critiques.

Le premier point critique est le dernier freinage avant la ligne d’arrivée (au virage n°11). Selon les estimations de Brembo, les bolides y passeront de 321 km/h à 198 km/h en seulement 36 mètres. Pour ralentir, le pilote appuiera 1,22 seconde sur la pédale de gauche et subira une décélération de 6,6 g, comme le montre l’animation ci-dessous.

Le freinage avant le virage numéro 4 est aussi impressionnant. Les F1 devraient y passer de 326 km/h à 110 km/h en 2,31 secondes et 62 mètres. La décélération subie s’élèvera à 5,5 g, une valeur semblable à celle que les pilotes de chasse enduraient il y a une vingtaine d’années, sur des durées plus longues (d’où les combinaisons anti-g).

Enfin, le freinage le plus long se situe dans la ligne droite principale avant la chicane : 69 mètres pour passer de 326 km/h à 80 km/h, en 2,57 secondes, selon les chiffres fournis par l’équipementier italien.

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