Liberty Media, qui a racheté la Formule 1 en début d’année, a informé Bernie Ecclestone qu’il n’était plus le bienvenu sur les Grands Prix jusqu’à nouvel ordre.

C’est tout du moins ce que prétend l’octogénaire britannique, qui, avant l’arrivée des Américains de Liberty Media, avait présidé aux destinées de la catégorie reine du sport automobile pendant quatre décennies.

« Chase (Carey, le nouveau big boss de la F1, ndlr) a envoyé un message à l’une des filles du bureau pour me dire qu’ils n’avaient pas tellement de place sur les circuits accueillant les Grands Prix, qu’ils étaient limités par ce que les promoteurs voulaient bien leur donner« , explique Ecclestone au Daily Mail.

« Ils n’ont apparemment que trois bureaux disponibles (pour Chase Carey, Sean Bratches et Ross Brawn, ndlr), donc les trois bureaux sont déjà tous occupés. »

« Donc, pour le dire autrement, ils ne veulent pas que je vienne sur les Grands Prix. Cela aurait été plus simple s’ils me l’avaient dit directement de cette façon, plutôt que de me le faire comprendre implicitement… De toute façon, je leur rends service [en n’étant pas là]. »

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