Antonio Giovinazzi et le Sauber F1 Team avaient la gueule de bois ce dimanche à Shanghai.

L’Italien, qui ne sait pas encore s’il poursuivra l’intérim de Pascal Wehrlein à Bahreïn, a tapé le mur dans la ligne droite des stands après avoir dérapé sur une zone humide.

Marcus Ericsson a quant à lui réalisé une course sans relief pour rallier l’arrivée au quinzième rang, sans jamais avoir pu espérer se rapprocher des points.

« J’aimerais d’abord présenter mes excuses à l’équipe, déplore Giovinazzi. Les mécaniciens ont abattu un boulot fantastique afin que ma voiture soit fin prête pour la course. Après avoir déjà connu un accident en qualifications, c’est dommage que je me sois aussi crashé aujourd’hui. J’ai tiré plein de leçons de cette journée. Je veux désormais oublier ce week-end rapidement. »

« J’ai pris un bon départ et mon premier tour était correct, enchaîne Ericsson. J’ai profité de la Virtual Safety Car pour passer en pneus tendres, même si nous savions que la piste n’était pas totalement sèche. La suite du Grand Prix fut assez compliquée après cela. »

« Les conditions étaient difficiles car les températures de l’asphalte étaient relativement basses, ajoute le Suédois. Ce fut difficile de bien faire fonctionner les pneus. Dans l’ensemble, j’ai souffert avec les pneus durant toute la course. Je ne les ai jamais fait marcher dans la bonne fenêtre de fonctionnement. »

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