L’ancien Champion du monde Damon Hill s’est étonné hier à Monza que les Mercedes n’avaient pas été arrêtées au drapeau noir par la direction de course pendant le Grand Prix.

Si les pressions de pneus trop basses mesurées par la FIA constituaient bien une prise de risque mettant en danger la sécurité, il ne voit pas de raison d’avoir laissé Hamilton et Rosberg poursuivre la course.

Hill reconnaît cependant que la situation était confuse.

« Je n’aurais pas voulu être adjoint aux commissaires sportifs, a-t-il dit au micro de Sky Sports F1. Mais, en tenant compte de ce qui s’était produit à Spa avec la Ferrari de Vettel, il y avait de quoi s’inquiéter en cas de crevaison à haute vitesse sur un circuit comme celui-ci. »

« En tant que pilote, si l’on m’explique que j’ai conduit la voiture dans des circonstances dangereuses, je n’aurais pas apprécié, a-t-il ajouté. Quand la sécurité est vraiment en cause, il est irresponsable de prendre le moindre risque. »

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