Le Hungaroring n’est pas considéré comme une piste typée ‘moteur’ avec seulement 55% du tour à plein régime. En qualifications, la vitesse moyenne dépasse légèrement 195 km/h et chaque virage se négocie sur les deuxième, troisième ou quatrième rapports.

Le turbo est fortement sollicité en Hongrie. Étant donné que le pilote joue constamment avec l’accélérateur, une réponse instantanée et précise du turbo permettra grandement d’améliorer les temps et la maniabilité.

Le secteur intermédiaire sera tout aussi important avec ses courbes à moyennes et basses vitesses ponctuées de courts freinages. Libérer la puissance au bon moment sera la clé pour abaisser ses chronos.

Les fortes zones de freinage offrent au MGU-K l’occasion de récupérer de l’énergie. Ses principaux points de récupération se situeront au T1, où les voitures décélèrent de près de 310 à moins de 90 km/h, ainsi que sur la quasi-totalité du deuxième secteur, en particulier au freinage de la chicane (T6-7).

Le MGU-H est vraiment mis à l’épreuve à Budapest, peut-être plus que sur n’importe quel autre circuit de la saison jusqu’à présent. Cela est dû à l’intensité des petites accélérations entre les virages.

Les températures ambiantes annoncées seront chaudes puisque le mercure devrait s’établir bien au-delà des 30°C. Des stratégies complexes de refroidissement et de dissipation de la chaleur sont prévues pour éviter toute surchauffe.

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