L’arrivée de Michael Latifi dans l’actionnariat de McLaren a fait craindre une titularisation future à Woking de son fils Nicholas qui n’a jamais convaincu en Formule 2.
Mais faute de super-licence, le jeune canadien se dirigerait plutôt vers un programme en Indycar Series avec le soutien des troupes dirigées par Zak Brown.
Pour prendre le départ d’un Grand Prix, le pilote DAMS en F2 doit terminer dans le Top 5 de l’antichambre de la Formule 1 et marquer 20 points pour décrocher le fameux grade.
Ce n’est un secret pour personne : l’écurie britannique souhaite mener une offensive outre-Atlantique qui aurait d’abord lieu en partenariat avec une formation déjà bien établie comme Andretti Autosport avant de rouler ensuite en tant que structure à part entière.
On pourrait revoir les célèbres couleurs oranges en Amérique du Nord dès 2019. Comme nous vous l’évoquions récemment, Fernando Alonso, lassé par la Formule 1 et désireux de revenir à Indy 500, pourrait être de la partie tandis que Latifi ferait le parfait écuyer pour l’Espagnol et jouerait la carte nord-américaine de par sa nationalité.
Après le coup médiatique du one-shot d’Alonso aux 500 miles d’Indianapolis 2017 (en photo), voir deux monoplaces oranges au pays de l’Oncle Sam aurait du sens pour McLaren qui disposerait ainsi d’une belle publicité sur ce marché commercialement important que sont les Etats-Unis.
McLaren a remporté trois succès à Indianapolis. Mark Donohue a gagné sur une M16B engagée par Penske en 1972 tandis que Johnny Rutherford a décroché deux succès en 1974 et 1976 sur une monture officielle.
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