Nico Hülkenberg avait été contraint à l’abandon il y a six jours au Grand Prix d’Autriche suite à une défaillance de son turbocompresseur.
Si Renault pensait initialement pouvoir sauver le moteur à combustion interne d’Hülkenberg, les analyses réalisées à Viry-Châtillon cette semaine n’ont toutefois pas été concluantes.
« Malheureusement, le moteur est également bon pour la casse« , a confirmé Nick Chester, le directeur technique châssis de Renault, à Silverstone.
« Quand le turbo a cassé, des débris ont été se loger dans le moteur à combustion interne, le rendant inutilisable également. »
Hülkenberg utilise donc ce week-end à Silverstone un nouveau moteur thermique ainsi qu’un nouvel exemplaire de turbocompresseur – ses derniers autorisés par le règlement. Il écopera au minimum de dix places de pénalité quand Renault introduira la spécification C de son groupe propulseur, vraisemblablement en Belgique ou en Italie.
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