Si les trois coups de la saison de F1 2017 auront lieu fin mars en Australie, les pilotes, eux, n’ont pas attendu cette échéance pour entamer leur préparation physique, à l’image de Jolyon Palmer.

Le pensionnaire de Renault Sport met toutefois en garde ses collègues. A ses yeux, la nouvelle réglementation, qui privilégie l’appui aérodynamique tout en augmentant la vitesse des voitures en virages, constituera un défi physique de taille. Gare donc à ceux qui le prendront trop à la légère.

« Le physique fera la différence, déclare le Britannique. Bien que nous ne connaissions pas encore le niveau exact de performance – seuls les chiffres sont connus -, si les prévisions se confirment on ne tardera pas à savoir quels pilotes ont suffisamment peaufiné leur préparation cet hiver. »

« Si certains manquent de condition, ils seront vite démasqués. » 

Quant à savoir si de tels changements de règlement auront un impact positif ou non sur les dépassements et la qualité des courses en général, Palmer préfère attendre le verdict de la piste plutôt que de prêcher dans le vide.

« Nous ne saurons réellement qu’une fois à Melbourne, défend-il. Si vous regardez dans le passé lorsque les voitures généraient beaucoup d’appui, en 2007-2008 par exemple, les pilotes parvenaient quand même à dépasser alors que le DRS n’existait pas. »

« Je pense qu’avoir des voitures plus rapides sera le vrai défi, bien que certains virages risquent de se négocier pied au plancher et seront donc moins difficiles », conclut-il.

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