Pirelli a dévoilé hier fin de journée la conclusion de son enquête sur la crevaison subie par Kimi Räikkönen dans les derniers tours du Grand Prix de Grande-Bretagne, disputé le 16 juillet dernier.

Quelques jours après avoir conclu la première partie de son investigation sur la voiture de Vettel, le manufacturier italien s’est penché sur le cas du Finlandais, victime comme son équipier d’une crevaison inexpliquée à trois tours de l’arrivée à Silverstone.

Selon Pirelli, l’incident serait du à une cause extérieure et non à un défaut dans la structure du pneumatique.

Les analyses ont par ailleurs révélé plusieurs points d’impact sur la bande de roulement, sans doute causés par des contacts répétés avec les vibreurs.

« Ce type de dégât n’a pas été détecté sur d’autres zones du pneu, déclare Pirelli dans un communiqué. De plus, la structure et la ceinture de la roue ne présentaient aucun signe de fatigue. »

« La cause probable de la crevaison provient de contacts constants avec un corps extérieur menant à la séparation partielle de la ceinture avec le corps du pneu au niveau des deux zones abîmées », peut-on lire.

« En conclusion, Pirelli confirme qu’aucun problème survenu n’était en lien direct avec la composition même du pneumatique. »

Si Räikkönen avait finalement pu récupérer la troisième marche du podium après être rapidement repassé par les stands, Vettel voyait ses espoirs dégringoler jusqu’à la septième place, permettant au vainqueur Lewis Hamilton de refaire son retard à un point au championnat du monde.

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