Renault collectionne les casses sur ses groupes propulseurs depuis deux Grands Prix.

Au Mexique, l’Autodromo Hermanos Rodriguez, situé à plus de 2.000 mètres d’altitude, avait donné lieu à un véritable barbecue. Trois des six pilotes motorisés par Renault avaient été contraints à l’abandon (Daniel Ricciardo, Nico Hülkenberg et Brendon Hartley).

« Tous ces pépins témoignent d’une grosse erreur dans notre manière de travailler« , admet Cyril Abiteboul, le patron de Renault Sport F1, à L’Equipe.

« Mercedes a pu tester longuement son moteur cet hiver. Nous, en revanche, avons dès la conception de notre moteur rencontré des problèmes. Et depuis, nous courons après ces kilomètres qui nous manquent. »

Hier à Interlagos, la situation ne s’est pas améliorée, que du contraire. Ricciardo, Pierre Gasly et Hartley ont déjà écopé de pénalités, et les deux pilotes Toro Rosso ont peu tourné en essais libres suite à de nouveaux problèmes d’ordre moteur.

« Pour Brendon, ce n’était qu’un problème d’arbre de pompe à l’huile, commente Abiteboul. Il a suffi de le changer. Son moteur n’a pas été endommagé. »

Contrairement au moteur de Gasly, de nouveau victime d’une casse de turbo et de MGU-H vendredi matin à Interlagos. Le pilote français a déjà écopé d’une pénalité de grille de 25 places pour ce Grand Prix du Brésil.

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