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La Renault R.S.18 qui a été dévoilée cette semaine (et qui est en piste depuis ce matin au Circuit de Catalunya, voir ci-dessus) n’est pas vraiment celle qui sera alignée à Melbourne, fin mars, pour le premier Grand Prix de la saison.

Renault a décidé de repousser le plus tard possible certains éléments de son châssis, à tel point que l’équipe française aura une monoplace qui sera à mi-chemin entre 2017 et 2018 pour les premiers essais hivernaux, qui débuteront lundi à Barcelone.

« Pour être clair, sur les premiers essais, on aura une voiture qui est quasiment une hybride entre 2017 et 2018. Et ce n’est qu’à Melbourne qu’on aura une version beaucoup plus complète, car on a décidé de freiner très tard« , révèle Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, à Auto Hebdo.

« Sur certains aspects, on a décidé de freiner beaucoup plus tôt, notamment toute la partie mécanique moteur, la boîte de vitesses, qui pour la première fois est en matériaux composites au lieu d’être en titane. »

« En revanche, sur la partie aérodynamique, on veut développer le plus tard possible parce qu’on veut être très agressifs sur nos cibles aéro. La voiture va très fortement évoluer. Lors de la première semaine à Barcelone, on aura des éléments qui étaient déjà là l’an passé et c’est voulu. »

Cette première semaine d’essais hivernaux en Catalogne sera à suivre par le biais d’un live timing et d’un direct commenté sur F1i.

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