Les qualifications du Grand Prix d’Azerbaïdjan s’étaient bien déroulées jusque-là lorsque, à quatre minutes de la fin de la Q3, la Red Bull de Daniel Ricciardo a tapé le mur.

« C’est toujours frustrant de se crasher, mais en Q3 on donne tout et les risques augmentent, admet l’Australien. Je savais pouvoir m’améliorer dans le virage n° 6 et j’ai essayé de l’aborder plus vite, mais j’ai perdu l’arrière avant de heurter le mur. J’ai tout tenté pour redresser l’auto, mais comme le mur se referme quelque peu, voilà… Ce n’est pas la faute du mur, évidemment ! »

« Sur un circuit en ville, on espérait se battre devant comme hier, mais les Mercedes étaient vraiment trop rapides, a-t-il constaté. En revanche, on aurait pu se mêler aux Ferrari, mais on paye toujours le prix quand on franchit la limite. L’équilibre de la voiture est excellent et, même dans une stratégie à un seul arrêt, on doit pouvoir se battre pour le podium. »

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