Le moteur à combustion interne sera à plein régime sur environ 62% du tour ce week-end sur le circuit de Sepang, long de 5,543 kilomètres.

Il s’agit de l’un des pourcentages les plus élevés de la saison, notamment par rapport aux 47% de Singapour. Les plus longues phases d’accélération se situent sur les deux principales lignes droites : celle des stands et l’opposée. Chacune s’étale sur près de 900 mètres.

L’humidité du climat malaisien réduit le mélange air-carburant. Cela facilite théoriquement la vie du bloc moteur puisque plus l’hygrométrie est grande, plus l’oxygène à brûler se fait rare. Cet effet sera néanmoins atténué, un turbo égalisant toujours la pression ambiante en son antre.

L’épingle reliant les deux lignes droites et l’enchaînement T1-T2 mettent l’accent sur la réponse du turbo.

Avec une majorité de virages rapides et à moyenne vitesse, Sepang n’est relativement pas éprouvant pour le MGU-K. Les possibilités sont minimes pour récupérer l’énergie au freinage, d’où une consommation élevée.

Un peu moins de la moitié du circuit se compose de lignes droites. Le MGU-H a ainsi de nombreuses occasions de récupérer l’énergie du flux de gaz d’échappement. Sepang est d’ailleurs l’une des meilleures pistes pour cet exercice.

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