Max Verstappen se frotte d’ores et déjà les mains à l’idée de retrouver le circuit Gilles Villeneuve, théâtre ce week-end du Grand Prix du Canada.

L’épreuve nord-américaine entretient depuis des années une cote d’amour rarement démentie auprès des pilotes de F1 qui louent le caractère particulier du tracé de l’Ile Notre-Dame, à la fois étriqué, rapide et soumettant les machines (et leurs freins) à rude épreuve.

« La foule vient toujours en nombre sur ce circuit, particulièrement aux virages 1 et 2 où vous ressentez les clameurs jusque dans la voiture, déclare le Batave. Les fans canadiens sont passionnés par la course et revenir ici chaque année est toujours une superbe expérience. »

A l’image de Nico Hulkenberg, un virage en particulier du tracé montréalais retient l’attention de Mad Max.

« Un de mes endroits favoris du tracé, qui est aussi l’un des plus difficiles, est la dernière chicane avant l’arrivée, révèle-t-il. Vous arrivez pied au plancher au point de freinage et négocier les vibreurs en entrée peut être très délicat, surtout avec des disques de frein pas encore à température. »

« Les murs à l’extérieur sont aussi très proches et gare à ne pas les frôler de trop près sous peine d’être pénalisé », poursuit-il.

« Comme d’habitude ici, les voitures rouleront avec moins d’appui, ce qui par endroits devrait influencer l’équilibre au freinage. Heureusement, le grip mécanique est bien meilleur cette année et cela devrait convenir à tout le monde », conclut le pilote Red Bull.

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