Marcus Ericsson (onzième) : 6,5/10

Evidemment, par rapport au classement de Wehrlein, cette onzième place fait pâle figure. Le Suédois – sur une stratégie à deux arrêts, lui, ceci explique en partie cela -, privé de Q2 par l’Allemand pour quelques millièmes, n’a pourtant pas fait un mauvais Grand Prix, que du contraire. Ce fut une réelle surprise de le voir doubler Alonso ou Stroll avec sa modeste Sauber, preuve que les évolutions, pas toutes introduites faute de temps, portent leurs fruits. Marcus a toutefois manqué de s’accrocher avec Vettel qui lui prenait un tour.

Réagir à cet article