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UN SINGE PLUTÔT QU’UN DOUBLE “T-WING” ?

Pour la première fois de la saison, Williams a testé, samedi matin, un monkey seat sur la FW40, plus arrondi que la version 2016. Le “T-wing” inférieur, particularité du bolide de Grove, n’était pas monté à cette occasion.

Installé au-dessus du pot d’échappement le “monkey seat” intervient en appui à l’aileron arrière, afin d’éviter le phénomène de décrochage. Il permet à l’aileron de fonctionner de manière stable malgré un angle d’incidence élevé, indispensable pour générer de la charge aérodynamique sur les circuits qui l’exigent.

On notera que les moyeux creux, évalués en essais libres à Shanghai, n’ont toujours pas été utilisés en course.

La présente galerie est une sélection des évolutions apparues à Sotchi, non une liste exhaustive. On ajoutera que Force India a déjà retouché les déflecteurs verticaux qu’elle avait introduits à Bahreïn et que Toro Rosso a testé un capot arrière à ouvertures asymétriques sur sa STR12.

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