Pascal Wehrlein (quatorzième) : 6,5/10 

Depuis le temps qu’il se plaignait du manque d’équilibre de sa machine, l’Allemand a enfin reçu des modifications sur son châssis, et celles-ci ont porté leurs fruits puisqu’il n’est passé qu’à quelques dixièmes de la Q2. S’il a bouclé l’essentiel de l’épreuve devant son équipier, Pascal dut céder sur le fil, ayant bouclé quasi toute l’épreuve avec le même train, usé jusqu’à la corde.

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