Marcus Ericsson (treizième) : 6,5/10
Est-ce la nécessité de devoir performer pour sauver son baquet ? Toujours est-il que le Suédois est plutôt à son avantage pour le moment. Pas aux essais où il avait le dernier chrono à 2/10e de Wehrlein. Mais le lendemain, il a livré une copie propre, certes sans génie mais sans erreur non plus, qui a fini par lui permettre de prendre l’ascendant sur son camarade d’écurie.