Au petit jeu des reculs sur la grille de départ, les McLaren-Honda sont-elles imbattables ? Nous nous sommes amusés à additionner les pénalités depuis le début de la saison et le résultat de nos calculs est édifiant : les « bolides » oranges, leurs pilotes et surtout leurs moteurs dominent tous les classements. Défense de rire… jaune !
Au soir du Grand Prix d’Italie à Monza, pendant que l’orage s’éloignait de l’hospitality Force India, les cerveaux fumaient dans le motorhome de la FIA. Comment sauver le soldat Honda? Sachant qu’un motoriste de moins n’est pas une bonne chose pour la F1, aux dires de Jean Todt himself.
Rien n’en sortit. Et pourtant, il existerait une solution pour éviter le hara-kiri. En effet, il suffirait de créer un troisième titre. Il y a celui des conducteurs et celui des constructeurs. Créons donc le titre de Championnat du monde des pénalités de grille. Le classement virtuel après Monza donnerait un doublé McLaren-Honda en surclassement de toutes les autres écuries.
Par pilote, le belge a vraiment la cote pour sa première saison. Le double champion du monde prend la deuxième place. Verstappen, malgré ses nombreux abandons se retrouve néanmoins encore derrière son équipier australien. Quant à Palmer il est quatrième, mais c’est vraiment le seul classement où il figurera décemment un jour en F1.
Nombre de places de recul sur la grille par pilote
1 | Vandoorne | 158 |
2 | Alonso | 105 |
3 | Ricciardo | 45 |
4 | Palmer | 25 |
5 | Kvyat | 23 |
6 | Verstappen | 20 |
7 | Wehrlein | 15 |
Hülkenberg | 15 | |
Button | 15 | |
10 | Sainz | 13 |
11 | Grosjean | 10 |
Ericsson | 10 | |
13 | Stroll | 8 |
14 | Perez | 5 |
Hamilton | 5 | |
Giovinazzi | 5 | |
Button | 5 |
Retour à la case départ sans passer par la case « prison » : inutile de leur apporter des oranges…