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Une carrière en dents de scie et pas les résultats que son talent méritait…

Durant l’hiver, il teste une Williams mais Rosberg aura le baquet aux côtés de Reutemann… qui partira à la retraite dès le second Grand Prix. Encore une occasion de loupée. A Imola, Jarier offre à l’autre Enzo le meilleur résultat de l’histoire de l’écurie : 4e. Il est vrai qu’en raison de la guerre FISA-FOCA, il n’y avait que 14 bolides au départ.

Entre non-qualifications et casses à répétition, sans oublier la mort de son jeune équipier Paletti à Montréal, le reste de la saison est à oublier, Jean-Pierre décidant même de ne pas prendre le départ du dernier Grand Prix à Las Vegas, jugeant sa voiture trop dangereuse.

S’ensuivra une dernière année pathétique sur une Ligier-Ford hors du coup, vierge de toute unité, et Jarier raccrochera après 134 Grands Prix pour seulement 31,5 points. Une misère pour un tel talent.

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