La F1 où Patrick retrouve son pote Gilles (ici avec Peterson en jaune et Scheckter à droite). Après un seul GP sur une McLaren, le Canadien a été embauché par Enzo Ferrari, en plein divorce avec Niki Lauda. Le Parisien, lui, est signé par cette même équipe McLaren pour la campagne 78 où il épaulera James Hunt.
Las, le team de Teddy Mayer est en pleine dégringolade. Sur la médiocre M26 (ci-dessus), Tambay ne récolte que huit points, soit autant que l’ancien champion du monde anglais.
C’est bien pire en 79, cette fois associé à John Watson. Tant la M28 (en haut) que la M29 sont des fers à repasser. Patrick ne rallie que deux fois l’arrivée, au dixième rang, pour neuf abandons et même deux non-qualifications. McLaren et Marlboro lui préfèrent le jeune Prost pour 1980, la carrière de Tambay est au point mort, d’où son come-back en Can-Am.