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On connaît la suite : la mort brutale de Gilles, et le Commendatore qui le choisit pour occuper le baquet au mythique numéro 27. Troisième en Angleterre, quatrième en France, Tambay gagne donc en Allemagne avec la remarquable 126 C2 avant de finir quatrième en Autriche et second en Italie. Il permet ainsi à la Scuderia d’être sacrée chez les constructeurs.

Sans titre 6

En 83 aux côtés d’Arnoux, Tambay lutte pour le titre pilotes après son deuxième et déjà ultime succès à Imola (à gauche), devant des tifosi extatiques : ils ont même applaudi quand Patrese, pourtant Italien et un moment leader, s’est crashé avec la Brabham. Hélas, quatre abandons – dont trois après qu’il eût obtenu la pole – l’écartent de la lutte. Il se classe quatrième et Ferrari conserve les lauriers constructeurs. Pour 1984, le prometteur Transalpin Michele Alboreto lui est toutefois préféré.

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