Suite de notre série consacrée aux pilotes francophones de la Scuderia en avançant dans le temps, des années 50 aux années 70, une époque où on trouve davantage de pilotes belges que des Français chez Ferrari. Tête de gondole de cette seconde salve : Jacky, avec un grand Ickx.

André Pilette

Dans la famille Pilette, je demande le fils. Rejeton de Théodore Pilette, pilote du début du siècle, André se lança lui-même en sport auto dans les années 40. Il débute en F1 au Grand Prix de Belgique 1951 sur la Talbot-Lago de l’Ecurie Belgique (photo ci-dessus) et termine sixième. Trois ans plus tard à Spa, il prend ses deux seuls points sur une Gordini (5e). C’est toujours dans les Ardennes que sa trajectoire croise celle de Ferrari en 1956 : 6e sur une ex-Lancia D50 officielle, mais peinte en jaune. Sporadiques, ses apparitions en Formule 1 se poursuivront jusqu’en 1964.

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