René Arnoux

Deux saisons et une chique pour Néné à Maranello, avant d’être brutalement écarté. Divorcé de Renault où l’ambiance avec Prost était devenue électrique, il se fondit parfaitement dans le moule rouge en 83, signant quatre poles et trois victoires pour demeurer presque jusqu’au bout candidat à la couronne. 84 fut moins flamboyante avec une 126C4 moins fringante, qui ne lui valut que des places d’honneur (quatre podiums). La quatrième place au Brésil, en ouverture de l’année 85, fut synonyme d’adieux pour l’Isérois.

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