Jules Bianchi – Jean-Eric Vergne – Charles Leclerc

Si Vergne ne dépassa jamais le stade de pilote de développement – en clair : de simulateur -, Bianchi aurait peut-être eu sa chance si un sort funeste ne s’en était mêlé, lui qui devait poursuivre son apprentissage chez Sauber. Cette même écurie suisse devrait accueillir l’an prochain le très prometteur Charles Leclerc, une fois en poche le titre en F2 qui lui tend les bras après une saison d’absolue domination.

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