Fernando Alonso est devenu un des pilotes les plus actifs depuis qu’il a débarqué sur Twitter, attirant près d’un demi-million de followers en l’espace de deux mois seulement. Afin de permettre à ses nombreux supporters de se rapprocher un peu plus de lui, l’Espagnol partage désormais quotidiennement des photos ou anecdotes sur son compte Twitter afin de maintenir une certaine interactivité.
Ponctuellement, il répond également à leurs questions en postant les réponses sur son site officiel. Dans le dernier entretien avec ses fans, ces derniers peuvent ainsi en apprendre davantage sur leur idole. Alonso révèle préférer les pizzas aux sandwichs garnis, la montagne à la plage, les chiens aux chats, les séries aux films et la finale de la NBA à celle de la League des Champions, bien que l’Ibère soit un amateur averti du ballon rond.
De manière plus anecdotique, la star de la Scuderia Ferrari confie dormir toujours du côté droit du lit, ne pas ronfler et ne pas rêver souvent non plus. Comme la plupart des gens, il a habituellement besoin de 9 et 10 heures de sommeil quotidiennement.
Sur le plan professionnel, Alonso aurait voulu être professeur de mathématiques s’il n’était pas devenu pilote de Formule 1 ou s’il lui avait été impossible d’entamer une carrière en cyclisme ou football. Les maths étaient sa matière préférée lorsqu’il était à l’école.
On apprend aussi que le natif d’Oviedo est ambidextre, utilisant tant sa main droite que sa main gauche. « J’avais l’habitude d’écrire avec ma main gauche quand j’étais petit, mais à l’école les enseignants ont toujours essayé de me faire écrire avec l’autre main, confie-t-il. Je suis donc un peu habile des deux membres maintenant. J’ai plus de force dans le bras gauche, je joue au football avec mon pied droit, je sers de la main gauche au tennis mais je joue de la main droite… Je crois que l’on peut dire que je suis ambidextre ! »
Alonso ajoute encore qu’il ne jouait pas beaucoup aux Legos quand il était petit, qu’il déteste avoir à repasser ses chemises et qu’il adorerait rivaliser avec des pilotes féminins sur la piste.
Finalement, le double Champion du monde révèle qu’il partage l’intégralité de ses bonus lors des Grands Prix avec ses mécaniciens. « Je pense que c’est la chose la plus juste à faire : partager les bonus gagnés avec ceux qui vous ont aidé à monter sur le podium ou remporter la course. Ce serait complètement malhonnête de ma part de ne rien partager avec eux« , a-t-il conclu.
