ENTRE MONOPLACES
Mercedes a eu la voiture la plus rapide sur la durée de la saison, suivie par Ferrari et Red Bull.
L’écurie Renault a terminé sixième au classement des constructeurs en ayant la quatrième voiture la plus véloce. Les raisons ? Une fiabilité perfectible, qui a privé l’équipe de gros points (souvenons-nous de la quatrième place perdu par Hülkenberg à Singapour). Un Palmer ne tirant pas la quintessence de sa monture et une voiture plus à l’aise le samedi que le dimanche (en raison d’une exploitation perfectible des gommes en course).
Rang | Monoplace | Écart sur meilleur temps absolu (*) |
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1. | Mercedes W08 | 100,090 % |
2. | Ferrari SF70H | 100,268 % |
3. | Red Bull RB13 | 100,947 % |
4. | Renault RS17 | 102,190 % |
5. | Force India VJM10 | 102,229 % |
6. | Williams FW40 | 102,408 % |
7. | McLaren MCL32 | 102,546 % |
9. | Toro Rosso STR12 | 102,723 % |
10. | Haas VF17 | 102,844 % |
11. | Sauber C36 | 104,003 % |
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Notons l’écart important (1,2 %) entre le top 3 et le milieu de grille, qui est lui très compétitif (0,65 % entre six teams)
(*) Il s’agit de l’écart par rapport au meilleur chrono signé sur tout le week-end, pour chaque épreuve. Si l’on prend l’exemple du dernier Grand Prix du Brésil, le meilleur tour du week-end a été signé le samedi en séance qualificative par la Mercedes de Valtteri Bottas en 1’08”322 (qui représente la référence 100 %). Le deuxième chrono, signé par la Ferrari de Sebastian Vettel en 1’08”360, représente 100,06 % par rapport à la référence.