Jolyon Palmer (douzième) : 6/10

Le Britannique termine sa relation avec Renault comme il l’avait commencée : dans l’anonymat le plus total. Se plaignant d’une voiture qui glissait en Q2, il était de toute façon condamné au fond de grille par sa pénalité moteur. Jolyon a tenu 40 tours avec ses pneus tendres, faisant alors illusion, avant d’ensuite rentrer dans le rang tout en échouant à quelques secondes du tandem Massa-Alonso.

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