F1i vous propose régulièrement des billets d’humeur de l’ami Thierry cette année. Le prestigieux rendez-vous monégasque l’a inspiré sur le thème des jeux de hasard, forcément !

Depuis 1929 des invétérés joueurs se retrouvent chaque année sur le rocher pour un tournoi, le plus souvent, d’anthologie. Ils sont arrivés à vingt cette année, l’un d’entre eux, n’aimant pas les risques (quoique), préférant aller jouer le cow-boy chez les indy-ens.

Au programme : trois parties de poker, une de baccara le samedi après-midi, pour se terminer à la roulette monégasque le dimanche. C’est maintenant devenu une habitude, McLaren a, dès le départ, demandé de changer son jeu, donnant, au passage, une pénalité de 15 places à son retraité de luxe.

Dès la première manche de Poker, le blackjack fait sauter la banque (cherchez l’erreur) en explosant le record du tapis. Deuxième manche, Stroll nous fait un flop mais, pas grave, c’est papa qui banque. Pour Hamilton, la river n’est plus un long fleuve tranquille. Il nous la joue slow play. Les Ferrari décident d’y aller all-in et nous sortent une couleur en tête après avoir, à leur tour, explosé la banque.

Samedi après-midi, la partie de Baccara nous révélera quelques surprises. Il est clair qu’au Baccara Lewis n’a pas la baraka avec son sabot. Aurait-il préféré le chemin de fer ?

En FP3, Ocon délaisse le club pour aller directement à la piscine. Hamilton reste avec sa petite blinde. Quant à Vettel, il nous la joue no limit, et avec sa main pleine, s’envole straight pour un nouveau record. Samedi après-midi, la partie de Baccara nous révélera quelques surprises. Il est clair qu’au Baccara Lewis n’a pas la baraka avec son sabot. Aurait-il préféré le chemin de fer ?

Ocon, après sa virée du matin, se retrouva, dès la Q1, dans la pile de défausse. Vandoorne, jouant les flambeurs, voulut imiter son collègue français au même endroit. Keine chance ! Alors qu’il n’avait jamais franchi la Q1, il se qualifia, nez-en-moins, pour la Q3. Sans pouvoir y prendre part malheureusement. Et c’est après 128 Grand Prix que le papy finlandais renoua enfin avec la pole, nord dans son cas.

Esteban Ocon a découvert Monaco par la face Nord, dans un style un peu flou…

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