Motor Racing – Formula One Testing – Abu Dhabi, UAE

Déception dans le camp du Taureau ailé, qu’on espérait en lutte pour le titre et qui a dû se contenter des miettes du festin. La refonte du règlement technique offrait pourtant l’occasion de se mesurer avec Mercedes : une RB13 loupée en début de saison et une fiabilité précaire du V6 Renault étiqueté « TAG » en ont décidé autrement…

RED BULL – TAG HEUR : 3ème / 368 points  – 3 victoires et 13 podiums

Red Bull termine avec 100 points de moins qu’en 2016. Victime du réveil de Ferrari, mais aussi de sa propre baisse de régime. La plupart des observateurs, et nous en faisions partie, pensaient que le changement de règlementation était du pain béni pour Adrian Newey, qui allait nous sortir une RB13 d’exception. On a rapidement déchanté. Quelle est la part du châssis et celle du moteur dans cet échec ? Difficile à déterminer.

Il est clair que le V6 Renault, sur la distance, ne rivalisait pas encore avec ses homologues allemand et italien. Pire : il afficha une fiabilité nettement moindre qui coûta, parfois dès le samedi, quelques gros résultats. Mais la monoplace anglo-autrichienne ne fut pas non plus exempte de tous reproches. Restent trois victoires pour sauver les meubles. Ricciardo exploita les circonstances en Azerbaïdjan, Verstappen était sur une autre planète en Malaisie et au Mexique. Mince consolation.

La note F1i : 7,5/10

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