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Longtemps « one car team », le losange ravit in extremis la sixième place. De quoi aborder plus sereinement 2018.

Renault : 6e/57 points

Dès les premiers Grands Prix, les jaune et noir ont prouvé qu’ils étaient bien dans le coup. Sur un tour, la RS17, assez constante quels que soient les types de tracé, n’avait pas grand-chose à envier à la Williams FW40. Elle était un peu moins en verve sur la distance d’un Grand Prix, mais aurait dû pouvoir lutter pour la cinquième place finale avec sa collègue britannique. Or elle a dû s’employer jusqu’au bout pour arracher la sixième à Toro Rosso et Haas. L’explication réside bien sûr principalement dans le fait que Renault a dû composer, durant les trois quarts de la saison, avec une seconde voiture quasi inexistante, Palmer multipliant les déceptions. Il ne faudrait pas non plus masquer quelques faiblesses mécaniques qui ont coûté des points précieux. A l’heure des bilans, on retiendra une nette progression en l’espace de douze mois, qui doit se poursuivre et même s’accélérer.

La note F1i : 7/10

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