© Gregory Lenormand / DPPI

Charles pose aux côtés de Jules Bianchi en 2014 : à la fois son ami, son mentor et son idole.

Comment as-tu eu cette envie de faire du sport automobile ?

J’ai eu le virus grâce à mon père qui était lui aussi pilote et qui m’a d’une certaine manière initié. Ma famille connait également bien la famille Bianchi. On allait souvent à Brignoles rouler sur la piste de kart familiale. J’étais assez souvent là-bas et c’est comme cela que j’ai eu la passion, d’abord en suivant Jules. Il était un exemple pour moi. Quand j’étais petit, je le regardais avec des grands yeux. J’essayais d’ailleurs de l’imiter sur la piste quand j’avais 5-6 ans.

Jules était un exemple pour moi. Quand j’étais petit, je le regardais avec des grands yeux. J’essayais d’ailleurs de l’imiter sur la piste quand j’avais 5-6 ans.

Quel est ton circuit favori ?

Comme beaucoup d’autres pilotes, j’aime bien Spa-Francorchamps. C’est un tracé où je n’ai pas été très en verve par le passé, jusqu’à cette année. En fait, mes circuits favoris sont ceux sur lesquels je vais le plus vite. Monza est aussi une piste que j’adore, tout comme Abou Dhabi.

Tu n’es pas le premier pilote monégasque. Plusieurs de tes compatriotes se sont illustrés avant toi…

Il n’y a pas eu beaucoup de pilotes monégasques mais la plupart ont un palmarès éloquent. C’est le cas du grand Louis Chiron mais aussi de Stéphane Ortelli ou encore d’Olivier Beretta. Et pour ma part, j’espère finir ma carrière avec le plus gros palmarès monégasque. Ce serait fantastique…

Motor Racing - GP3 Series - Sunday - Budapest, Hungary

Avec Leclerc, Monaco tient peut-être son nouveau Louis Chiron…

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