© XPB Images

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UNE IDÉE QUI A FAIT SON CHEMIN

Depuis l’incident dont a été victime Felipe Massa en 2009, la FIA mène des recherches sur divers systèmes offrant une protection efficace à la tête du pilote. Une réflexion rendue encore plus nécessaire par les décès de Henry Surtees en F2 (2009) et Dan Wheldon en IndyCar (2011), l’accident de Maria de Villota en essais privés (2009), ou la catastrophe manquée de peu par Fernando Alonso au départ du Grand Prix de Belgique 2012. Plus près de nous, les décès de Jules Bianchi au Grand Prix du Japon 2014 et de Justin Wilson en IndyCar l’an dernier ont fini par imposer l’idée d’une protection de la tête du pilote. Une F1 équipée d’un arceau ou d’un pare-brise aurait fait sourire il y a quelques années, mais les temps changent.

Si plusieurs concepts ont été imaginés (dont une verrière), deux solutions ont été testées en conditions réelles : le “halo” (inauguré par Ferrari cet hiver à Barcelone) et l’“aeroscreen” essayé par Red Bull à Sotchi. Les deux dispositifs présentent des avantages et des inconvénients, que l’on survolera ici.

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