Mercedes est champion du monde des constructeurs. Rosberg lui offre sa cinquantième victoire en Grands Prix, sa quatrième personnelle en cinq courses. Aux anges, le voilà avec 33 points d’avance, ce qui signifie qu’il peut se contenter de finir deuxième des quatre dernières manches derrière Hamilton pour être sacré. Lewis, lui, ne fête pas vraiment son 100e podium en carrière. Son team a voulu porter réclamation contre Verstappen, il s’en désolidarise. Sa tâche s’est sérieusement compliquée, à moins d’un abandon de son meilleur ennemi.

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