Antonio Giovinazzi (abandon) : 3/10

Il y a une sacrée distance entre Melbourne et Shanghai. Pour l’Italien, des années lumière. La révélation du premier Grand Prix de l’année s’est sabordé en sortant deux fois au même endroit, dans le dernier virage. Samedi en réaccélérant trop tôt, roues encore braquées et sur le vibreur ; dimanche en se faisant piéger par une flaque d’eau. Bilan : une voiture doublement pliée et une bonne impression initiale écornée. D’autant plus dommage qu’il était qualifié pour la Q2.

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