Jolyon Palmer (Renault) : 5,5/10

Début de saison calamiteux pour l’Anglais, il est vrai malchanceux en Q1 quand Giovinazzi ruina ses chances de rejoindre le top quinze. Il écopa au passage de cinq places de pénalité pour n’avoir pas suffisamment levé le pied. Dernier sur la grille, Palmer troqua dès la fin du tour de formation ses intermédiaires contre des super tendres. Bonne pioche… s’il n’était pas parti en toupie sur une zone encore humide. Sa course fut ensuite correcte et se résuma à une longue défense face à Grosjean, mais il était déjà trop tard.

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