1984 : 1 victoire, 2 podiums, 6ème du championnat, 25.5 points
La nouvelle écurie baptisée Williams Grand Prix Engineering a débuté son existence sur les chapeaux de roues avec deux titres pilotes et constructeurs mais avec un banal Cosworth dans le dos. Pour viser la victoire, s’associer avec un constructeur devient obligatoire. Didcot jette son dévolu sur Honda. Avant les fabuleuses saisons 86 et 87, les Britanniques essuieront les plâtres d’un V6 turbo nippon beaucoup trop brutal pour le châssis de l’inconduisible FW09. Seules une deuxième place à Interlagos et une victoire à Dallas signées Rosberg sauveront la face.