Brendon Hartley (quinzième) : 6/10
Comme son équipier français, Brendon n’a pas débarqué au meilleur moment au sein de la petite squadra. Une fois de plus pénalisé (moteur), il n’insiste pas lors des qualifs où il réalise le dernier temps. Sa course sera assez transparente : il la vivra derrière la modeste Sauber de Wehrlein sans pouvoir l’attaquer. La sixième place constructeurs s’est envolée.