Stoffel Vandoorne (douzième) : 6,5/10

Un Grand Prix à l’image de la première saison du Belge : pas facile. Qualifié deux places derrière Alonso, Stoffel déplorait l’absence de bouton magique. Enfermé au départ où il perdait deux rangs, il se trouvait aux prises avec une monoplace très délicate à piloter, d’un où pitstop précoce. Faisait ensuite du bon boulot pour maintenir un groupe de furieux derrière lui.

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